Voilà une heure qu'il était en train de s'empaler et de se frotter sur l'accoudoir du canapé...et il n'en avait toujours pas assez. Pourtant je pensais lui avoir bien garni le cul. Entre les deux suppositoires, le lait, les flocons d'avoine, les deux bananes, les oeufs, le coton et les dix tampax en guise de bouchons, plus la cire pour sceller l'ensemble, je pensais qu'il en aurait assez dans le cul pour me laisser lire tranquillement, mais ça l'a complètement déchaîné. Il était excité comme jamais.

Je pensais que la tige urétale coincée dans sa queue avec le suppo ça le calmerait, mais même pas. Il arrête pas de se frotter. Il en veut encore le petit. Va falloir que je redouble d'attention, je vais voir ce que je trouve.

Pendant que je cherche de quoi le garnir autrement, je lui demande de tout enlever et de ne rien me salir. Inutile de vous dire dans quel état d'excitation ça le met. Va falloir y aller sévère pour le calmer.

"montre-moi ton cul? Il est propre? Ecarte les fesses et penche toi en avant je vois rien là?"

Je fourre un doigt dans son cul pour voir, il est dégeu et son cul tout coulant.

"non mais tu plaisantes ou quoi, t'es un vrai cochon, t'es tout sale et collant. Faut que je nettoie tout ça. File dans la sale de bain et emmène le spéculum. Allez! couche-toi sur le dos dans cette baignoire et lève-moi tes fesses. Tiens tes jambes sur ton ventre que je vois ce que je fais. "

Je commence bien évidemment par lui mettre le tuyau de la douche dans le fion, pour faire un premier nettoyage. Direct dans le trou sans ménagement. Pas besoin de chichis, il est déjà dilaté. Je fais couler l'eau assez fort, pour que la banane, le lait et les flocons sortent bien.

Après ce premier prélavage, je lui mets le spéculum bien au fond et je l'écarte au maximum. Je vois bien le fond de son fondement, ça commence à devenir propre et je peux nettoyer correctement. Je remets le tuyau de douche dans son antre et laisse couler l'eau pendant plusieurs minutes en le poussant bien au fond. Il pousse un cri d'extase quand je suis au fond. Ma parole, il aime vraiment que j'aille jusqu'au fond du fond de son trou.

"maintenant que t'es bien propre, tu peux sortir de là, je peux m'occuper de toi. Et laisse le spéculum dans ton cul. Et si t'arrives pas à marcher debout, ben mets-toi à quatre pattes et viens jusqu'au salon."

Du coup, il descend les marches d'escalier à reculons, avec son cul béant. Il pète presque à chaque marche.

"couche-toi sur le canapé, comme dans la baignoire. Avant de continuer je fourre à nouveau un doigt dans son cul, pour voir si c'est vraiment propre. Hum...c'est pas encore ça! Je vais passer la brosse."

Paf...une grosse claque retentit sur sa cuisse gauche.

"c'est pas toi qui décide si tu es propre ou pas. Y a encore de la saleté dans ton cul, alors je nettoie."

Et je prends l'écouvillon mouillé, que je passe à travers le spéculum et frotte contre ses parois rectales. Il gémit et se dandine du cul.

"arrête de te dandiner comme une fillette, je vais te mettre de la crème après."

Je garnie un gode de taille normale de crème, retire le spéculum et lui glisse le gode dans le cul en le faisant bien tourner et coulisser pour garnir ses parois. J'en mets presque le tube entier...avec ce qu'il va recevoir maintenant, il va bien en avoir besoin.

"Tiens, pendant que je finis, déballe-moi trois préservatifs et dans chacun d'eux, tu mettras un kiwi et tu fais un noeud au bout."

Pendant qu'il s'exécute, je lui repose le spéculum et l'ouvre à nouveau en entier. Je déballe trois suppositoires à la glycérine, ils sont bien plus gros que les précédents qui étaient pour la fièvre des nourrissons. Il en aura besoin à un moment donner ou un autre.

Je mets le premier dedans et le pousse bien au fond, jusqu'à ce que je l'entende couiner. Je pousse avec le manche du martinet. Je fais pareil avec le deuxième et le troisième.

Une fois les trois suppo en place, je retire le martinet et le spéculum et je prends trois boulets qu'il utilisait plus jeune pour jouer aux billes. Il m'interrompt une nouvelle fois, en me disant, non c'est pas déjà fini. Nouvelle claque sur la cuisse. Il est tout rouge et se frotte la cuisse.

"Encore une fois tu m'interromps et ce sera vraiment fini!"

Bizarrement je n'entends plus rien, à part un "pardon maman."

Je poursuis donc, en poussant le premier boulet dans son fondement, puis le deuxième et le troisième. Je prends un concombre et je le glisse pour tout pousser bien au fond. Il aime vraiment sentir que tout lui remonte dans les entrailles.

"Passe-moi le premier kiwi! T'as bien fermé le préservatif? T'aurais pu t'appliquer un peu. Regarde comment t'as emballé ça! Faut tout faire soi-même ici."

Je reprends le kiwi et le positionne bien au fond de la capote en faisant un beau noeud. Je mets un peu de vaseline sur sa rondelle qui s'était refermée et je pousse le fruit à l'intérieur. Il a du mal à rentrer, ça force un peu ,mais ça vient.

"Passe-moi le deuxième!"

Il hésite. J'ai bien vu qu'il a senti passer le fruit...et qu'il se sent écartelé de l'intérieur. Je lui prends des mains et le pousse directement dedans. Il force un peu, mais rentre vite malgré tout. Il se tient les fesses. Il faut qu'il s'habitue à avoir le cul défoncé comme ça.

"tu vois, c'était pas si terrible que ça! Allez, pose tes jambes, je vais passer à ta queue!"

Je prépare deux préservatifs, chacun avec un boulet à l'intérieur, je ferme bien et glisse un lacet dans chaque noeud. Je fais un noeud coulissant autour de chaque couille et j'accroche un boulet autour. Je lui enfile un harnais d'escalade, très pratique pour attacher des cordes. Je relis sa couille gauche sur sa cuisse gauche et pareil avec la droite. Il a les couilles écartelées. La queue maintenant. Je passe un lacet sous son gland et j'accroche sa queue sur l'attache de la ceinture de son ventre. Sa queue est toute étirée et tendue. Son service trois pièces est en miette...tiré de tous les côtés. Il ne fait plus le moindre geste. Il est tiraillé de partout et son cul est complètement défoncé, plein et lourd. Il ne déborde pas encore, mais je fais exprès. Il va dormir comme il est...enfin...je vais encore lui passer une corde entre les fesses et l'attacher à son collier, histoire qu'il ne perde rien.

Son collier est bien serré autour de son cou. Je passe la corde dans l'anneau de devant , je glisse ensuite ensuite sa peau et les cordes de ses cuisses pour passer entre ses fesses et remonter bien serré fort dans son dos et faire un noeud sur l'anneau de son collier à l'arrière. Il a bien couiné là. Il est déjà rouge.

Pour finir, je lui mets une couche et l'emballe bien hermétiquement dedans.

"tu vas pas me laisser comme ça toute la nuit?"

"bah si pourquoi?"

"j'ai mal!"

"petite nature va. C'est toi qui m'a demandé plus tout à l'heure."

"t'as raison, je vais pas te laisser comme ça, ça va pas."

Je déballe un suppositoire pour nourrisson, trempe la pointe dans la vaseline et lui glisse dans le méat urinaire. Après tout, c'est vrai que si l'envie lui venait de pisser, il se ferait dessus, ça passerait par-dessus la couche. Je ferme avec une capote plus petite posée sur son gland et je ferme la couche.

"Et maintenant t'es sage! Je veux plus t'entendre! Tu restes sage sur le canapé. Tu peux regarder la télé si tu veux, mais en silence, maman lit encore. Va me chercher un verre d'eau s'il te plaît!"

Je le vois essayer de marcher jusqu'à la cuisine avec toutes les peines du monde. Il met au moins 10 minutes pour y aller. Chaque mouvement lui tire les couilles et la corde qui lui rentre dans le cul ne fait qu'accentuer encore son sentiment d'avoir le cul déchiré et défoncé. Il est rigolo. Il se tient le cul avec sa main. Je l'ai bien garni cette fois. Il est revenu sur le canapé et ne se tripote plus, ne bouge plus. Il n'arrête pas de me dire, j'ai le cul défoncé, ça fait mal. Mes couilles sont cassées, j'ai mal.

Je lui fais boire une tisane chaude pour le détendre et il fini par s'endormir à bout de force sur le canapé, une main sur sa queue et l'autre sur son cul par-dessus la couche. Je le laisse dormir et le couvre. On verra demain s'il m'a défoncé la couche et expulsé un kiwi ou le suppo dans la queue...ou s'il s'est habitué à la douleur et à être totalement défoncé et écartelé sur son intimité.